Espace conçu pour les Démocrates de tous bords.
8 Février 2011
le 06.02.11 | 03h00 23 réactions
Djamel Zenati, militant pour le combat démocratique, ancien du FFS et du Mouvement culturel berbère (MCB), apporte, dans cet
entretien, un éclairage sur différentes questions liées à l’actualité nationale, notamment les dernières émeutes et tout ce qui en découle comme
actions citoyennes.
-Quelles interprétations faites-vous des derniers développements survenus sur la scène politique et sociale ?
Au-delà des manipulations et des manœuvres politiciennes réelles ou supposées, le mouvement de colère que vient de connaître notre pays signe l’échec de la politique antinationale de l’une des dernières dictatures au monde. La dégradation avancée des conditions de vie de l’écrasante majorité des Algériens et l’opulence affichée avec arrogance par le pouvoir et sa clientèle ont nourri un sentiment d’injustice et d’indignation très fort.La fermeture des espaces de la libre expression et la destruction des canaux institutionnels d’épanouissement culturel et de promotion sociale ont poussé les citoyennes et les citoyens vers des modes d’affirmation et d’action extrêmes.
Nous vivons un moment d’une grande intensité politique, car la situation explosive du pays est couplée à un contexte régional en pleine ébullition. Ça peut donner le meilleur comme le pire. Tout dépend du prolongement qui sera donné au mécontentement populaire par les divers acteurs et intervenants politiques. Une chose est cependant certaine, l’émeute ne peut en aucun cas constituer une stratégie politique, et quand elle s’installe dans la durée, elle renforce plus qu’elle ne fragilise le régime en place. Lors des dernières émeutes, tout le monde aura constaté que la dimension déviante a rapidement pris le pas sur l’aspect contestataire.
-Comment expliquez-vous cela ?
Il y a d’abord le fait que la culture du pillage qui caractérise le sérail a déteint sur la société. Mais plus grave encore est cette jonction qui s’est établie entre les «nouveaux riches» et les milieux du banditisme et de la délinquance. Ces derniers sont utilisés comme «limes sociales» censées contenir la contestation et lui enlever tout caractère politique. Ce phénomène dangereux risque de démobiliser les populations. C’est pour cela qu’il est nécessaire de privilégier l’émeute des consciences et le travail de réflexion et de construction.
-La Tunisie semble être sur le point d’instaurer un régime démocratique et l’Egypte est dans un mouvement de contestation du régime. Peut-il en être de même pour l’Algérie ?
Je suis très confiant dans le processus tunisien à déboucher sur un système démocratique. Je le suis moins en ce qui concerne l’Egypte où la donne géopolitique va peser lourdement. Chaque
pays a sa propre trajectoire, ses spécificités, et personnellement je réfute l’idée de vague démocratique, car je ne crois pas à la fatalité historique. Il peut cependant y avoir des
interactions, mais il faut se garder d’en surestimer le poids. Il ne fait pas de doute que les peuples de la région sont en marche. Et c’est le cas de l’Algérie. Les évolutions qui
surviendront seront celles que choisiront les acteurs, bavards et moins bavards, au pouvoir ou dans l’opposition, dans la diversité de leurs démarches et perceptions.
Le sursaut qualitatif dépendra de la volonté et de la capacité de ces acteurs à construire un consensus politique honnête et durable loin du populisme et de la manœuvre. Un contrat historique
est aujourd’hui possible car le règne par «le verbe et le bâton» est révolu et l’alibi du «rempart contre l’extrémisme» fissuré. Bien au contraire, c’est le maintien de ces systèmes qui
nourrit l’extrémisme et menace la paix partout dans le monde. Et les exemples ne manquent pas.
-Toujours aussi émiettée, l’opposition démocratique peine à se constituer en véritable alternative au régime. Quelles sont les causes de cet échec ?
L’histoire mouvementée de notre pays avec une irruption récurrente de la violence a empêché l’émergence d’une culture et d’un champ politiques. L’absence de traditions étatiques a favorisé le repli dans les valeurs et structures traditionnelles à solidarité primordiale. Depuis quelques années, il y a un balbutiement du politique, mais le pouvoir a réussi à configurer le champ à sa convenance et à insérer l’opposition dans un jeu politique dont il a lui-même fixé les règles. Il lui a enlevé de ce fait toute capacité stratégique. Avec le temps s’est développé un rapport de suspicion entre le peuple et les élites. Comment voulez-vous qu’il en soit autrement quand des élus se réclamant de l’opposition alimentent eux-mêmes le phénomène de la corruption par des recommandations appuyées au profit des barons de l’alcool et autres secteurs maffieux ?
Enfin, il y a lieu de signaler cette discorde permanente qui caractérise les forces politiques et qui ne s’explique pas seulement par l’action des laboratoires du pouvoir. Il y a aussi l’effet destructeur des pesanteurs de notre société qui baigne dans un autoritarisme quotidien qui sert de réceptacle à l’autoritarisme du pouvoir. L’opposition est-elle aujourd’hui prête à rompre avec ce carnaval et à reconstruire un rapport de confiance avec la population ? Je l’espère de tout mon cœur. L’Algérie a vécu ces dernières années une expérience très dense en événements et à chacun de faire son introspection et tirer les enseignements utiles. C’est à ça que doit servir le passé et non pas à actualiser des conflits qui ne serviraient pas la dynamique actuelle. Mais il est vrai que certains doivent, plus que d’autres, faire montre de modestie et de sens de la mesure.
-Comment voyez-vous l’après-Bouteflika ?
Après les alternances claniques, nos dirigeants semblent tentés par la succession familiale. Hantés par l’idée de laisser la place, ils ont trouvé là une manière de quitter le pouvoir sans le quitter. La nouvelle configuration du système mise en place par Bouteflika répond justement à ce souci.Jamais un Président n’a eu autant d’atouts entre les mains, et le résultat après douze ans de règne est tout simplement un énorme gâchis. Il a fait perdre à l’Algérie toutes ses opportunités, notamment la possibilité de rejoindre le concert des pays émergents.Il a affamé le peuple, affaibli les institutions, érigé le régionalisme en critère d’accès aux postes et ressources, livré l’économie aux réseaux maffieux. Et j’en passe. La guerre de succession a déjà commencé et ses anciens sponsors entendent se réapproprier les prérogatives dont ils ont été dépouillés.
Et c’est l’éternel recommencement. L’après-Bouteflika se présente selon deux scénarios possibles. Le premier consiste en un retour à l’avant-Bouteflika. Le second est celui de l’amorce d’une
transition démocratique. La raison et le sens patriotique dicteraient à tout un chacun d’opter pour le second scénario.
Mais les réflexes néo-patrimonialistes de nos dirigeants et le peu de considération qu’ils ont pour le pays risquent de nous fourvoyer dans une nouvelle aventure meurtrière. L’empressement
qu’ils ont à mobiliser les technologies les plus sophistiquées de répression des masses contraste avec un silence honteux et un «aplat-ventrisme» indigne quand des pays comme la
Palestine ou l’Irak se font humilier et martyriser au quotidien.Ils peuvent aller jusqu’à susciter un état de guerre pour se maintenir. Et si les choses se corsent, ils choisiront, à
l’exemple de Ben Ali, de fuir comme des malfrats plutôt que d’accompagner le peuple dans une meilleure perspective historique.
-Quel est votre rapport au FFS ? Que pensez-vous de sa position dans la conjoncture actuelle ?
Le rapport est certes distant depuis quelque temps, mais le FFS demeure le parti dont je me sens le plus proche. Son rôle durant les années de braise a été décisif dans l’évitement d’un embrasement généralisé du pays. Ses problématiques et propositions demeurent pertinentes et d’actualité. Ce qui le prédestine à jouer un rôle moteur dans cette dynamique de remise en cause du système politique actuel. Il est assez caractéristique que les exigences les plus insistantes du FFS, à savoir la levée de l’état d’urgence et l’amorce d’une période de transition, soient reprises par l’ensemble des organisations, y compris par celles qui les avaient combattues auparavant. C’est un fait important dont je me réjouis. Mais je serai encore plus heureux si le FFS retrouvait la place qu’il mérite sur la scène politique et je ne comprends pas qu’il se mette en marge en pleine effervescence sociale. Nul n’a le droit de priver les citoyens d’un instrument de lutte ou d’un espace d’expression quelconque.
-Y a-t-il des chances de voir Djamel Zenati réinvestir bientôt le terrain politique ? Etes-vous prêt à prendre des initiatives personnelles ou à vous joindre aux dynamiques qui semblent se profiler à l’horizon comme la marche du 12 février ?
Je n’ai jamais quitté totalement le terrain politique mais je dois reconnaître que je me consacre plus au travail de réflexion qu’à l’activité politique. De plus, il est devenu difficile
d’être visible dans un champ de plus en plus rétréci et surtout pollué.
Pour ce qui concerne les initiatives, je crois que plus il y en a et moins c’est bon. Le foisonnement des initiatives n’est pas de nature à favoriser les convergences. Je n’ajouterai donc pas
au risque dispersif. Toutefois, je voudrai souligner avec insistance que toute action qui ferait l’impasse sur les attentes et les indignations exprimées par les citoyens serait perçue
comme une tentative de récupération politicienne du désarroi du peuple. Ce qui est au centre des préoccupations de la population peut se résumer en deux phrases : suppression des injustices
et élargissement des libertés.
Pour cela, toute initiative politique devra s’articuler autour de deux axes essentiels. Le premier a trait à une série de mesures d’urgence, comme la levée de l’état d’urgence, ou encore la
mise en œuvre d’un plan immédiat et concret dans les domaines de l’emploi, du logement et du cadre de vie en général. Le deuxième axe concerne l’amorce d’une transition démocratique dont
les séquences et le contenu seraient à définir par l’ensemble des acteurs. Prudence et patience sont nécessaires pour éviter les impasses du passé.Quand à la marche du 12 février, il est
certain que j’y serai.
Republique banana
boutef et sa mafia
Attention
Attentions aux Caméleons mes Amis, apprenez les lecons bien.
à zomarketing!
de l'intelligence, dites-vous!elle est drôle la vôtre ,qui vous permet de prendre les algérois pour des agresseurs.de confondre le régionalisme colonial repris par les usurpateurs de l'indépendance:tous ... la suite
de l'intelligence, dites-vous!elle est drôle la vôtre ,qui vous permet de prendre les algérois pour des agresseurs.de confondre le régionalisme colonial repris par les usurpateurs de l'indépendance:tous les algériens sont des berbères et je ne vous apprends rien monsieur l'intelligent!la Kabylie n'est pas Tizi elle n'est pas non plus Bougie ,elle n'a pas de limites monsieur l’intelligent.bravo pour printemps berbère:une connerie:drôle d'hommage à Mammeri,merci monsieur l'intelligent.connaissez vous M.Mammeri: bien sûr c'est le père de la connerie monsieur l'intelligent.dites nous ;votre intélligence a la taille de quel os ,car sûrement vous en avez reçu un pour un pareil discours.lisez l'histoire des héros des intelligent et vous saurez quel effet ça fait de marcher le 12;et qu'est ce que être intelligent(la votre manque un "L" elle fera de votre "FLN" unFN de Marine LePpen ,monsieur l'inteligent!
Guiche et Evas
Avez-vous mis les pieds ou vécus en Algérie. Avez-vous essayer de créer une entreprise en Algerie. Pour la création d'entreprise en Algérie vous devez payer des podevin depuis le dépôt du dossier à la ... la suite
Avez-vous mis les pieds ou vécus en Algérie. Avez-vous essayer de créer une entreprise en Algerie. Pour la création d'entreprise en Algérie vous devez payer des podevin depuis le dépôt du dossier à la chambre de commerce jusqu'à la fin de vie de l'entreprise. Surtout ne jamais concurrencer un ami du wali ou autre personne du pouvoir. Les algériens ne demandent pas un gain facile ou autres spéculations (même si c'est le propre de certaines personnes en Europe et Algérie). Ne soyez pas Naifs , pour exporter vers l'europe, vous devez avoir des entrées au ministere de l'économie et autre bureaux corrompus. Nous demandons la démocratie pour que cesse la corruption et avoir droit de participation à l'économie algérienne. Un conseil n'allez jamais créer d'entreprise en Algérie qui concurrence l'importation des généraux.
mascarade
desole pour tout le monde mais je veux savoir seulement pourquoi ils insistent pour cette marche, moi je suis contre et j'aime le calme pourquoi veulent ils marcher alors eux meme faiaient partie du meme ... la suite
desole pour tout le monde mais je veux savoir seulement pourquoi ils insistent pour cette marche, moi je suis contre et j'aime le calme pourquoi veulent ils marcher alors eux meme faiaient partie du meme systeme je parle du RCD et des autres microparties, ils sont eux aussi nuls pas seulement le FLN ou le RND ou autres ils n'ont rien proposer sauf le copie colle l'algerie a des hommes, c insense un Saadi ou ait hamouda presdient ils sont fou ou quoi?? aller messieurs si on veut le changement je le desire aussi mais pas de cette façon qu'on change nous memes nos foyers nos enfants d'abord, commence a change d'abord la base et ça remontra a coup sur vers les haut lieu car nous les jeunes qui seront dans les 20 ou 30 ans a venir on va commander cette algerie alors suivant pas ces SAADI et consort
bouteflika le harsen lupin.
oui il est en pour nous algérens de toute horizon de dire y'en à marre boutef prépare en douce sa succéssion l'algérie n'est pas une monarchie et n'est pas non plus la corée du nord il faut maintenant que ... la suite
oui il est en pour nous algérens de toute horizon de dire y'en à marre boutef prépare en douce sa succéssion l'algérie n'est pas une monarchie et n'est pas non plus la corée du nord il faut maintenant que le peuple aille jusqu'au bout et plier ses escros ses vieux militaires qui volent l'argent du peuple en planquant tout leurs argents dans les paradis fiscaux ils faut maintenant qu'ils rendent des comptes et dire qui les à mis en place et pour ils travaillent et sans oublier leurs familles qui sont planquer en suisse et profite de l'argent du peuple car ils mangent à leurs faims eux aussi ils faut qui rendent des comptes au peuple algérien qui vit actuellement dans la misère.
Je serai présent à la marche du 12
D'ACCORD AVEC EVAS
F L N D'AUJOURD'HUI
FRONT LIBÉRAL DES NULS
CEUX QUI FAISAIT PARTIE DU FLN
SONT MORTS OU SONT MALADES AUJOURD'HUI
CE F L N D'AUJOURD'HUI SONT DES VOLEURS DES ESCROCS DES GENS ... la suite
D'ACCORD AVEC EVAS
F L N D'AUJOURD'HUI
FRONT LIBÉRAL DES NULS
CEUX QUI FAISAIT PARTIE DU FLN
SONT MORTS OU SONT MALADES AUJOURD'HUI
CE F L N D'AUJOURD'HUI SONT DES VOLEURS DES ESCROCS DES GENS SANS PITIÉ ET CELA NE VEUX PAS DIRE QUE LES AUTRES PARTIES QUI ESSAIENT DE PRENDRE LA PLACE SONT DES SAINTS
DOMMAGE POUR NOTRE PAYS ON A L'IMPRESSION D'ÊTRE AU MOYEN AGE PAR RAPPORT AUX AUTRES PAYS
ON A ABROUTI NOS JEUNES , ON A CHERCHE QUE A IMPORTER AU LIEU DE FABRIQUER OU PRODUIRE
EN PLUS A DES PRIX DE VENTES QUE LE PEUPLE N'A PAS LES MOYENS AVEC LEURS REVENUS D'ACHETER
20% DES GENS EN ALGÉRIE VIVENT BIEN
ET 80% AVEC DES SALAIRES TROP BAS OU ALORS DANS LA MISÈRE
REGARDEZ LES GENS DE DUBAI,OMAN,LES ÉMIRATS ARABES UNIS, LE QATAR ETC....
ILS VIVENT BIEN AVEC DE BONS REVENUS ET LE PEUPLE S'OCCUPE DES ÉTRANGERS QUI VIENNENT TRAVAILLER DANS LEUR PAYS POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LEUR PAYS
ON EST PAS CAPABLE NOUS BIEN SUR QUE OUI
Mr LES DIRIGEANTS QUI GÈRENT EN CE MOMENT L'ALGÉRIE VOTRE ÉPOQUE EST DÉPASSÉ LAISSEZ LA PLACE AUX JEUNES
QUI SONT CAPABLE DE GÉRER NOTRE PAYS
DONNEZ UNE AUTRE IMAGE DE CE PAYS
Merci Guiche
Je ne sais pas si vous êtes un homme ou une femme, jeune ou vieux, mais peu importe. Quel bonheur de savoir qu'il reste quand même des personnes intelligentes et surtout lucides face à cette avalanche dans ... la suite
Je ne sais pas si vous êtes un homme ou une femme, jeune ou vieux, mais peu importe. Quel bonheur de savoir qu'il reste quand même des personnes intelligentes et surtout lucides face à cette avalanche dans laquelle on voudrait nous entraîner. Bien sûr qu'il est légitime d'exiger la liberté d'expression, une plus grande justice, et que le pouvoir en place non seulement en prive le peuple mais échoue complètement au niveau de la politique économique (y en a t-il réellement une d'ailleurs?). Mais il faut reconnaître que ce n'est pas ce qui va pérenniser les acquis d'un éventuels changements. C'est pourquoi à la "transition démographique" dont on nous rabâche les oreilles, je préfère la formule de l'histoire "la même chose mais autrement".Tant que les Algériens n'auront pas compris les enjeux économiques d'aujourd'hui, la nécessité de faire émerger une production nationale, les Algériens resteront à la merci de ceux qui les font vivre (leurs partenaires commerciaux qui innondent le marché de leurs biens et services et les grands groupes qui dont les filiales sont établies en Algérie). Le pire dans tout ça, c'est que l'Algérie a les moyens d'avoir une industrie compétitive dans nombre de domaines et de faire ce que fait la Chine : Partenariat avec d'autres pays tout en exigeant le transfert de technologies, prendre le relais et vendre à son tour ce savoir technologique à d'autres pays (comme actuellement à l'Arabie saoudite et au Brésil).
La taverne sétifienne.
Vous prétendez qu'en Algérie il y a la libre expression, soyez honnête qu'il est le champ culture qui est ouvert en Algérie, la télévision elle est entre les mains du F.L.N. est des partis satellites et ... la suite
Vous prétendez qu'en Algérie il y a la libre expression, soyez honnête qu'il est le champ culture qui est ouvert en Algérie, la télévision elle est entre les mains du F.L.N. est des partis satellites et vassale du pouvoir.
Vous dites que les gens ont le droits de critiquer librement, faut-il vous rappeler qu'il y a pas si longtemps des journaliste du journal qui vous a ouvert sa colonne d'expression populaire ont été emprisonnés dans le sud, c'est cela que vous appelez la liberté d'expression.
Est-il nécessaire e rappeler lors des dernières élection présidentiel, sa majesté Bouteflika avait de, toute les largesses pour sa campagne électorale, les pions utilisés comme opposition n'avait même des affiches suffisantes pour se faire connaître au public,
imbu de sa personne Bouteflika refuse le débat à la télévision, en revanche pour ses spots publicités la télévision les passés à profusions c'est cela la démocratie de Bouteflika et sa liberté.
Combien d'hommes politique Algérien ont étaient assassinés par le pouvoir en place actuel, le dernier en date fût Boudiaf qu'ils sont allés cherché au Maroc pour finir le criblé de balles dans le dos, acte de lâcheté sans commune mesure, c'est cela la liberté que vous clamez.
Qui a tué Khider, Abane, Krim, ils ne sont pas mort d'une mort naturelle dans leur lit, ils ont tous été criblé de balle, c'est cela la libre expression des amis Monsieur, Bouteflika.
Soyez nos vassaux, sinon c'est le cercueil, voilà la vérité du F.L.N. est de ses vassaux partis satellites.
Quand parker, dites à votre fille que elle peut travailler jusqu'à l'âge de 65 ans en Algérie les jeune n'ont pas la chance de travailler du tout.
SI elle, elle peut espérer percevoir une retraite quand elle sera vieille, sa cousine du pays, ne touchera rien si par malheur, elle est mal marié ou si elle ne s'est pas marié, il va falloir que pour le reste de ses jours elle finira sur le trottoir à farine la manche et à dormir sur le trottoir.
Diouwa,un jr meilleur,la teverne,parker
Tout à fait d'accord avec vous;je prefer payer 2000 DA le kilo de viande que revivre le terrorisme,les couvres feu et les manifs!!! Rcd,ffs tous des profiteurs!!! Laissez nous en paix,l'Algerie avance ... la suite
Tout à fait d'accord avec vous;je prefer payer 2000 DA le kilo de viande que revivre le terrorisme,les couvres feu et les manifs!!! Rcd,ffs tous des profiteurs!!! Laissez nous en paix,l'Algerie avance doucement mais surement avec l'aide de Allah!!!