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Oui, qui est vraiment Ait Ahmed ?

Par | | Oui, qui est vraiment Ait Ahmed ?  

 

Je soutiens vivement la proposition d'Elvaz Elbaz. il faut faire une enquete tres precise de combien d argent lui vire le regime pour son "opposition a la choukoulat suisse" le grand za3im qui avait ose traite Boudiaf de dictateur et qui avait eu les larmes de crocodille lorsqu il avait ete assassine, celui qui avait drague boumedienne et ben bella pour le nomer ministre des affaire etrangere puis lorsque le conflit entre le groupe dit de tlemcen et du groupe de tizi- ouzou  risquait de s entretuer les uns les autres et on lui avait intime l ordre de lancer des manifestation de seb3asnine barakat a ALGEr en ete 1962 puis on avait lancer l intoxe contre krim Belkacem ( tete de fils des anthentique moudjahiddine) cette intoxe voulait isoler Krim du groupe et disait que krim etait trop dur et qu il fallait un homme sage comme ait ahmed c est ainsi que le groupe s approcha de AA pour prendre la tete du groupe dit de tizi-ouzou c est ainsique le clan d oujda avait introduit son virus en kabylie qu avait ete AA et on continue a le manipule et lui ordonne ce qu il voudront car qu on  mange une fois avec les eux, c est pour l eternite....je vous encourage monsieur benchicou de vous rapprocher du commandant de l ALN si lhafidh pour qu il vous raconte l histoire du groupe de tizi-ouzou et comment avait ete introduit AA dans ce groupe pour le voir destructure et detruit...l OPPOSITION va se reconstruire par la volonte de tous contre ce regime qui a tout detruit. RQ : un grand oncle avait pris part a cette guerre contre le clan d oujda de ben bella et de boumedienne en 1963.

 

Rana

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L
<br /> AVOCAT ET élu FFS Yahia Medani APC tizi ouzou<br /> croyait que les constructions effrénées et anarchiques à la nouvelle ville avaient cessé. Pas du tout, on dirait que la mafia s'était éclipsée, juste le temps ... la suite<br /> <br /> AVOCAT ET élu FFS Yahia Medani APC tizi ouzou<br /> croyait que les constructions effrénées et anarchiques à la nouvelle ville avaient cessé. Pas du tout, on dirait que la mafia s'était éclipsée, juste le temps de se faire oublier. Les espaces verts<br /> qui avaient, jusque là, échappé au carnage, sont de nouveau convoités. Des constructions poussent entre des immeubles, étouffant ceux-ci.<br /> Elle revient en force à la faveur du soutien qu'elle a manifesté du ffs, lors de sa campagne électorale. C'est du moins se qui ressort des déclarations des riverains, alors qu'ils manifestent leur<br /> colère. Ils nous montrent une construction qui a commencé il y a à peine un mois, juste après l'élection présidentielle. D'après eux, « ils ont les bras longs ».<br /> Un autre nous confie que « Ce sont ces gens là qui ont mené campagne à Tizi Ouzou ». Un vieux visiblement dépité lâche : « On comprend maintenant cet excès de zèle de ces traîtres, maintenant tout<br /> leur est permis. Ils ont défiguré la nouvelle ville, et ça continue avec la complaisance des autorités ».<br /> Un autre très remonté se joint à la conversation: « Eux ils ont tous leurs villas avec piscine, ils s'en foutent de notre qualité de vie... »<br /> Il est vrai que dans cette ville, les regards ne croisent plus que du béton. Dire que, selon les plans initiaux, elle devait être un exemple d'urbanisation.<br /> <br /> <br /> <br /> La mafia dégomme M. Mohand Belhadj de son poste de maire de Tizi-Ouzou. C’est M. Naguim Kolli, un simple élu, qui a succédé au malheureux premier magistrat communal de Tizi-Ouzou.<br /> <br /> L’installation du nouveau maire a eu lieu ce matin à neuf heures à la salle des délibérations communales. La cérémonie d’installation, présidée par le directeur de la réglementation et des affaires<br /> générales (DRAG) de la wilaya, représentant du wali, a duré moins d’une minute.<br /> La question pertinente se posant à présent est de savoir combien de temps la mafia jugera M. Naguim Kolli « assez bon » pour le maintenir à son poste. Nos fidèles lecteurs doivent se creuser les<br /> méninges pour savoir comment le prédécesseur de l’actuel « patron » de la commune de Tizi-Ouzou a été poussé vers la porte de sortie ou tout simplement comment son siège lui a été arraché sous le<br /> fessier. C’est pourtant très simple, dès lors que piétiner les lois de la République algérienne est aussi ordinaire que de prendre une tasse de café au café du coin.<br /> En effet, M. Mohand Belhadj qui s’était vu refuser sa demande de congé annuel par la tutelle (l’administration de wilaya) a jugé intelligent de se faire délivrer un certificat médical pour pouvoir<br /> se permettre quelques jours de repos. Relevons au passage que M. Belhadj n’a pas pris de congé depuis trois ans. Ayant envoyé à qui de droit le document qui lui a été dûment remis par l’autorité<br /> médicale compétente , il a cru contourner l’obstacle qui a été dressé devant lui. Hélas, les choses sont plus compliquées.<br /> Légalement, c’est toujours M. Belhadj qui est le maire de la commune de Tizi-Ouzou, puisque son congé de maladie n’a pas encore expiré. Autrement dit, l’installation de M. Naguim Kolli à la tête de<br /> la commune n’est pas conforme aux textes réglementaires en vigueur. Par ailleurs, en cas de démission du maire, le choix de son successeur doit dépendre de celui des autres élus de la commune. En<br /> général, c’est le groupe majoritaire qui place l’un des siens. La compétence des services de la wilaya consiste à approuver par arrêté le choix des élus quant au détenteur du premier fauteuil<br /> communal.<br /> Cependant, au-delà du constat du fait que le code communal a été piétiné, il y a lieu de s’interroger sur les véritables raisons de la mise à l’écart de M. Mohand Belhadj qui est pourtant un ancien<br /> combattant. A-t-il contrarié la mafia ? Dans ce cas, en quoi ? Est-ce à comprendre alors que ce que la mafia n’a pu obtenir de la main de M. Belhadj, elle compte l’obtenir de celle de M. Kolli ?<br /> Toutes les conjectures sont légitimes, du moment que l’on sait avec exactitude au moins deux choses :<br /> la première, c’est que la commune de Tizi-Ouzou s’assure des rentrées de grandes masses d’argent annuellement.<br /> La seconde est que tous les maires qui ont essayé d’initier des projets réellement utiles pour les citoyens de Tizi-Ouzou, surtout s’ils ont essayé d’assurer une gestion transparente, se sont<br /> retrouvés sur le banc de touche.<br /> M. Chérif Aït-Ahmed, ex-président de la même APC (APC Tizi-Ouqou), a appris à ses dépens de quoi était capable la mafia. Le malheureux a même failli passer à trépas pour avoir osé tenter de<br /> partager équitablement entre tous les citoyens de Tizi-Ouzou l’argent de leur commune. Dès les premiers jours de son installation, la mafia a tenté, par le biais d’un de ses messagers, de lui faire<br /> parvenir jusqu’à son domicile un sachet contenant pas moins de 2.000.000, 00 DA. « Ceci est à considérer comme un pourboire ou une petite avance », lui dit le messager. M. Aït-Ahmed, horrifié,<br /> chargea son interlocuteur d’informer ses chefs qu’il ne mangeait pas de ce pain là. Devant son refus catégorique de se laisser corrompre, la mafia passa à la vitesse supérieure. Elle mena contre<br /> lui une action psychologique pour le déstabiliser. Pour cela, elle loua les services de quelques journalistes et du wali de l’époque, un certain Hocine Ouadah. Celui-ci eut la mission de l’accuser<br /> « publiquement » de dépenser l’argent de la commune d’une façon irrationnelle. Les journalistes, quant à eux devaient se charger de rapporter dans leurs feuilles les propos du wali et de colporter<br /> aussi par-ci et par-là que Chérif Aït-Ahmed ne pouvait pas bien servir les citoyens de Tizi-Ouzou puisqu’il était originaire d’Ain El Hammam et non de Tizi-Ouzou. Comme cette campagne de<br /> dénigrement a été un coup d’épée dans l’eau, la mafia n’eut d’autre choix que de le menacer de mort. Cet exemple de M. Chérif Aït-Ahmed est pris pour rappeler que l’existence de la mafia à<br /> Tizi-Ouzou n’est pas une simple vue de l’esprit, mais qu’elle existe bel et bien. D’ailleurs, même l’administration de wilaya est sous sa botte depuis longtemps.<br /> C’est pourquoi nous réitérons la question : jusqu’à quand le drs de M. Naguim Kolli sera-t-il jugé « assez bon ? » et quelles seraient ses concessions ?<br /> <br /> <br />
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C
<br /> j'ai a dire a celui qui a écrit cet article nik oualdik parce que on ne répond pas a des minables isuu de familles minables politiquement vous faites les éloges d'un grand guerrier(lion des<br /> djebels) alors qu'il est un des principaux tueurs de ABANE RAMDANE .Cordialement tete de con.<br /> <br /> <br />
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