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Réseau des Démocrates

Le débat politique s’enflamme : A couteaux tirés !

Le débat politique s’enflamme : A couteaux tirés !

le 14.06.15 | 10h00 13 réactions

La scène politique s’emballe depuis quelques semaines sur fond de recomposition dans et à la périphérie du pouvoir. Le retour d’Ouyahia à la tête du RND et le «plan d’action» dont il a fait part ne semblent pas arranger le FLN de Saadani, alors que Louisa Hanoune et d’autres acteurs de l’opposition s’inquiètent de la déliquescence de l’Etat.

Accusations et répliques, attaques et contre-attaques… La scène politique nationale s’est transformée, l’espace d’un week-end, en une arène où s’affrontent des acteurs politiques, dont certains représentent des clans au sein d’un même pouvoir. Le débat d’idées souhaité, qui ne s’est toujours pas installé, laisse la place à des échanges à couteaux tirés impliquant des chefs de parti, dont ceux qui se prétendent les tuteurs de la politique nationale.

Première saillie : la lettre adressée par le chef d’état-major de l’ANP, Gaïd Salah, au secrétaire général contesté du FLN, Amar Saadani. Celle-ci ne cesse de susciter la polémique qui fait perdre leur sang-froid aux acteurs politiques qui tentaient jusque-là de faire preuve de retenue. Les premiers signes d’une guerre déclarée au sommet du pouvoir commencent à apparaître. Parmi eux, cette lutte de leadership entre Amar Saadani et le revenant à la tête du RND, Ahmed Ouyahia. Alors que les tenants du pouvoir voulaient constituer un front uni pour faire face à l’opposition, de graves divergences apparaissent.

Quelques heures seulement après avoir appelé à la mise en place d’un «pôle politique» pour soutenir le programme du président Bouteflika, Ahmed Ouyahia reçoit une refus du secrétaire général du FLN. Animant une conférence de presse – la première depuis le 10e congrès de son parti – Amar Saadani fait valoir «le poids du FLN» pour signifier à Ahmed Ouyahia son désaccord. «Il faut que le FLN soit la locomotive parce qu’on est la majorité et il faut que l’alliance soit autour de lois, de projets, de débats et non de personnes ou d’autres entités»,
lance-t-il.

Lutte de leadership

Amar Saadani, représentant du clan présidentiel, semble ne pas avoir apprécié les déclarations d’Ahmed Ouyahia sur l’impossibilité d’une «succession monarchiste» et l’hommage qu’il a «rendu au DRS, à si Toufik (le patron du DRS) et à l’ANP». Les deux hommes s’accordent sur une seule question : critiquer les partis de l’opposition qui ont gêné le pouvoir dans la mise en œuvre de son agenda. Les deux hommes ont tenté aussi de prendre à parti la patronne du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune. Et cela a donné suite à des échanges plus virulents. Surtout entre Amar Saadani et Louisa Hanoune.

N’ayant pas apprécié les critiques faites par la secrétaire générale du PT à Gaïd Salah, Amar Saadani la tacle violemment en l’accusant «d’avoir demandé au chef d’état-major une intervention de l’armée dans la politique». «Louisa Hanoune parle de la Constitution alors que c’est elle qui l’a violée en premier et en dernier. N’est-ce pas elle qui est partie voir Gaïd Salah et a fait une déclaration à ce propos ? Mais ce qu’elle n’a pas dit à la presse, c’est qu’elle a demandé à Gaïd Salah une intervention de l’armée dans la politique, mais ce dernier a refusé. Pis, le siège national du PT est un bien de l’armée», affirme Amar Saadani.

Du tac au tac, Mme Hanoune rétorque en le traitant de «menteur». «Saadani ment lorsqu’il parle à ma place du contenu de la discussion que j’ai eue avec Gaïd Salah. Il m’a affirmé que l’ANP est une armée républicaine et jamais je ne lui ai demandé de s’immiscer dans la vie politique. C’est la lettre de Gaïd Salah au secrétaire général du FLN qui rompt avec ce principe de neutralité et implique l’armée dans des calculs politiciens», assène-t-elle à partir de Skikda où elle a animé, hier, un meeting.

Et d’ajouter : «C’est Saadani qui a porté atteinte à l’unité de l’ANP en s’attaquant à l’un de ses démembrements, le DRS. Ses attaques sont une manière de vouloir me faire taire. Non ! Je ne me tairai pas devant les dérives oligarchiques.» Cette oligarchie, selon elle, accapare les centres de décision. Louisa Hanoune répond aussi à Ahmed Ouyahia, auquel elle demande des explications sur le transfert des prérogatives présidentielles à d’autres personnes de manière illégale.

VOS RÉACTIONS 13

Lumen le 14.06.15 | 14h20

Attention!! l'opposition doit.......

Depuis quand ces trois personnes sont divergentes sur la scène politique dictée par Bouteflika? et ces derniers le soutiennent sans condition!!!? L'opposition doit être vigilante de ne pas tomber dans leurs piège tendue pour la détruire, préméditée pour l'atomiser. Encore une fois l'opposition doit s'occuper de leur feuille de route, de laisser ces loups se faire prendre par leur propre piège.

La theorie du domino .

Les clans D'IMPOSTEURS , charlatans et illusionistes qui forment ce pouvoir pourri font semblant de se chamailler mais en realite s'accrochent l'un a l'autre pour ne pas tomber dans le gouffre ! Ils s'accrochent aussi a un president-fantome moribond qui fait la risee des etrangers meme dans l'Afrique noire !Ces assoiffes de pouvoir ne savent plus ou se tourner pour conseil. Ils se sont caches pendant longtemps dans la zone de confort derriere le rideau de fer bien garde par une police corrompue et entrainee a reprimer le peuple , pas le proteger ! Un pouvoir ne sachant plus comment endiguer la fuite de secrets , signe d'un chaos imminent qui s'annonce , esperons le pour cette secte maudite a s'auto-detruire et laisser le pays a son peuple legitime !!!

Géostratégie des provinces musulmanes

La CIA déroule son plan tranquillement avec la complicité des services français et de leurs larbins locaux.
L'avant dernier épisode de la saga avait amené le pays jusqu'à la guerre civile, avec les mêmes protagonistes qu'aujourd'hui...le dernier lui nous a fait vivre l'illusion de la renaissance avant de lâcher le pays dans la tourmente puisque le centre de gravité des intérêts US et donc français semble se déplacer plutôt vers d'autres contrées du moyen orient.
L'équation du problème est de contrer la Chine par les occidentaux. Des pays comme l'Algérie, et malheureusement tous les petits pays de la méditerranée hormis la "constante créatrice", Israel, ne sont que des variables ajustables. Tant pis pour les peuples qui continuent à croire au zaim ou zaima et au grand soir...qui ne se produira jamais tant qu'il n'élève pas le niveau de ses exigences envers lui même d'abord.
Certains cherchent des traitres après avoir crus à l'indépendance, sachez que l'indépendance commence par l'individu qui doit d'abord penser à apporter au pays et non le contraire.
Je persiste à penser que la dernière chance du peuple algérien est de chercher rapidement une alliance avec un peuple "positif" qui aurait pour unique but l'excellence dans : les sciences actuelles, l'écologie équilibrée, la culture élévatrice et pas la sous culture, celle qui fait de l'homme un être respectueux de se qui l'entoure et qui protège son éco-système vital.
Un vrai laboratoire écologique d'avant garde dans ce monde de coyotes.

La légende de l'homme au masque de tô...

Il est revenu pour la niéme fois
après avoir été viré comme un malfrat maintes fois !
Cette fois ,il a fait fort :
Il n'a pas parlé au nom de ses maitres ,mais à leur place !
Irrités , ceux-ci lui envoyérent un drabki qui le gifla !

Les loups s'agitent

mais ne se mangent entre eux.

où va l'algerie?

il faut agir vite avant qu'il ne soit trop tard car l'algerie, notre propre pays est entrain de se perdre.ce clan constitué de saidani,ouyahia,gaid et les autres sont entrain de vendre l'algerie.

Sésame ouvre toi !

Gaïd Salah Amar Saadani 1Jusque-là, un équilibre fragile faisait rouler cahin-caha le pays. Un équilibre façonné et imposé par la violence par les janviériste, le DRS et Bouteflika. Il vient de subir une nouvelle fêlure. C’est assez pour craindre le pire. Derechef, le ciel s’assombrit peu à peu au-dessus de l’Algérie, un vent de panique se lève, les morts tendent les oreilles et les fossoyeurs se préparent en silence, imperturbables comme ce temps qui file écrasant tout sur son passage. Au loin s’étendent des roulements de tambour entrecoupés de cris d’orfraie. Le front plissé, les vieux regardent l’horizon ; ils augurent : un malheur est possible.

Ce sont-là, excessifs pour certains, les présages métaphoriques d’un cataclysme annoncé. Un militaire n’a jamais été un visionnaire. Il pourrait, avec un peu de chance, gagner quelques galons dans le monde des stratèges, mais la perception avec la grandeur et la décadence de son pays appartient au monde vaste des thuriféraires. Aveugle et insensible. Les mains de Gaïd Salah, si l’on prête attention, sont parsemées de taches de vieillesse, la peau flasque. Elles doivent trembloter sous les gants noirs, comme celles des vieux de son âge. Pourtant, son dernier geste politique relève du dilettantisme juvénile. En prenant sa revanche hasardeuse sur le général Hocine Benhadidi qui l’a traité d’incapable et lui dénia le titre de chef d’état-major devant le monde entier, le général Gaïd Salah, le bras séculier de la République, a soufflé sur les braises. Perché sur son trône de l’homme puissant, déconnecté de la réalité, il ne doute probablement pas dans quel engrenage il a mis les doigts. Plus qu’un acte de parrainage compromettant, son soutien ostensible à Amar Saâdani, un véritable pied de nez au général Mediène, a sapé les fondements d’un multipartisme déjà bancal. Comme en 92, par la volonté du chef de l’état-major poussé par des forces occultes, perverses, l’Algérie s’ouvre à tous les dangers.

Un journaliste, chafouin, bavant de dépit, lui jette à la figure au nom des généraux de l’autre clan cette phrase assassine : «Fais ce que tu veux, à condition que je ne t’attrape pas». Le voilà prévenu.

les rats et le navire

tout ce beau monde semble s'agiter à la vue d'un éventuel naufrage en eau trouble. cela risque de faire chavirer le navire avant l'heure...

la mégalomanie n'a pas de limites

les questions essentielles et stratégiques qui concernent la nation algérienne et , donc , le peuple algérien devraient être traitées par voie référendaire.
Ces Messieurs qui pensent détenir le monopole de la légitimité historique ne représentent que leurs petites personnes .
C'est pourquoi , ils devraient s'en référer à celui qui constitue la véritable source de souveraineté chque fois que le débat touche la nation algérienne et , par voie de conséquence , l'avenir et le devenir du peuple algérien.

La Casba brûle

Hier El-Watan titrait "Le dernier complot des Janissaires" aujourd'hui c'est "A couteaux tirés"
On est dans le même tempo et on serai tenté de dire que le "Drabki" n'arrive pas à jouer dans le même rythme que le violoniste et la danseuse. Bref c'est la cacophonie!

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